Ancien attaquant des verts, Mevlüt Erding se dit prêt à faire son retour à l’ASSE quitte à jouer gratuitement. Il attend désormais la réponse du club !
Libre de tout contrat à 35 ans aujourd’hui, Mevlüt Erding est à la recherche d’un nouveau challenge. Après plusieurs années en Turquie, l’ancien attaquant du PSG se voit bien revenir en France. Touché par la situation de l’AS Saint-Étienne, Erding est même prêt à jouer gratuitement pour les Verts et a proposé ses services au club.
Mevlüt Erding veut aider les Verts
C’est dans un live Twitch organisé par RMC Sport que Mevlüt Erding a donné quelques précisions sur sa situation. Après la fin de son bail à Ümraniyespor, le franco-turc se retrouve aujourd’hui sans club. Motivé à l'idée de s’offrir un dernier beau challenge, il n’a pas hésité à contacter directement l’ASSE, touché par la situation du club. « Pour être honnête, j’ai fait part de mon envie à Saint-Étienne parce que c’est un club mythique, un club à part, qui a besoin de joueurs comme moi pour faire le lien entre les joueurs et l’entraîneur, pour montrer la grandeur du club. Je le dis avec modestie. Je n’ai pas eu de nouvelles dernièrement, je suis vraiment déçu. Ça me fait mal de voir ce grand club français en Ligue 2. J’ai dit à Loïc Perrin que je pouvais limite revenir gratuitement. Je veux juste voir Saint-Étienne en haut. » a déclaré celui qui a passé deux années chez les Verts et y a fait trembler 21 fois les filets.
INFO SI : M. Erdinç (libre) a en effet été proposé à l'#ASSE. Un retour de Perrin, qui devait s'entretenir avec Batlles sur le sujet, est attendu. Un salaire de 10.000€ bruts mensuels serait demandé. Aucune prime à la signature réclamée. Le joueur attend une réponse définitive. pic.twitter.com/D6UnXCdk7l
— Sainté Inside (@SainteInside) June 23, 2022
Selon les infos de Sainté Inside, Loïc Perrin va soumettre l’idée au nouveau coach Laurent Batlles. On évoque un salaire de 10 000 euros mensuels bruts sans prime à la signature du contrat. Reste à savoir si l’idée fera son chemin ou pas dans la tête des dirigeants stéphanois qui ont déjà connu quelques écueils lorsqu’il s’agissait de gérer les vieux briscards. Sans Claude Puel sur le banc, cela se passera peut-être mieux.