La situation est toujours critique à Saint-Etienne malgré le changement d’entraineur en cours de saison. À tel point qu’Eirik Horneland a déjà une épée de Damoclès au-dessus de la tête.
La menace plane pour Eirik Horneland. Arrivé le 20 décembre dernier en remplacement d’Olivier Dall’Oglio afin de relancer une machine enrayée, l’entraineur norvégien ne parvient pas à faire beaucoup mieux. Si des promesses ont été entraperçues lors des premières rencontres, les grandes faiblesses des Verts ont ressurgi et frappé fort. Ces derniers n’ont pas gagné le moindre match depuis le 4 janvier. Avec une seule victoire, 16 buts encaissés et 8 marqués après 7 matchs depuis son arrivée sur le banc, Horneland déçoit. À tel point que sa position en tant qu’entraineur est d’ores et déjà fragilisée. Les quatre prochains rendez-vous de l’AS Saint-Etienne sont cruciaux pour l’ancien entraineur de Rosenborg et de Brann, lequel pourrait plier bagages en cas de déconvenue majeure.
L'ASSE, quatre matchs couperets
ASSE : Eirik Horneland lâché par sa direction https://t.co/VsdwwDEnTw
— Foot01.com (@Foot01_com) February 17, 2025
Au regard du classement de la Ligue 1, l’AS Saint-Etienne vit chaque match comme un couperet. Avec seulement 18 points, les Verts pointent à une triste 16ᵉ place et n’ont que 3 points d’avance sur la lanterne rouge montpelliéraine. Un état de fait qui place Eirik Horneland dans une situation précaire. Comme l’indique Livefoot, les quatre prochains matchs de l’entraineur stéphanois peuvent également être ses derniers sur le banc des Verts. Sainté commence cette série de quatre rendez-vous avant la prochaine trêve internationale par les réceptions d’Angers, concurrent au maintien, puis de l’OGC Nice.
Mais ce n’est pas tout, les hommes d’Eirik Horneland se déplaceront deux fois consécutivement chez deux adversaires qui jouent également leur place dans l’élite. D’abord Le Havre, le 9 mars, puis Montpellier, une semaine plus tard. Ces quatre matchs sont autant de raisons de croire que si l’entraineur norvégien s’en sort avec un bilan négatif, il obligera sa direction à prendre une décision. D’autant qu’après la trêve, les Stéphanois reçoivent le Paris Saint-Germain. Un calendrier qui fait peur.