A la recherche d’un latéral gauche pour compenser les départs souhaités par l’entraîneur Claude Puel, l’AS Saint-Etienne se retrouve en difficulté sur le dossier étudié. Le prix réclamé ainsi que l’apparition d’un grand club européen complique la donne.
Claude Puel n’y est pas allé par quatre chemins. Au moment de dessiner ses plans pour la saison à venir, l’entraîneur de l’AS Saint-Etienne a clairement annoncé la couleur à ses indésirables qui n’ont pas été convoqués pour le stage de préparation à Dinard. C’est notamment le cas des cadres Stéphane Ruffier, Yann M’Vila, Ryad Boudebouz, Wahbi Khazri. Mais aussi de Miguel Trauco, en partance pour l’Olympiakos, de Gabriel Silva et du polyvalent Sergi Palencia. Autant dire que le nombre de solutions diminue au poste de latéral gauche, d’où le souhait de renforcer cette position.
En effet, le club stéphanois étudie la piste menant à Dimitris Giannoulis. Mais très vite, l’ASSE a dû s’apercevoir que les discussions n’iraient pas bien loin. Pour commencer, le PAOK Salonique réclamerait 5 millions d’euros pour le transfert de l’international grec, un montant que les Verts pourront seulement atteindre après plusieurs ventes. D’ici là, le latéral de 24 ans aura peut-être déjà posé sous de nouvelles couleurs. Car selon les informations récoltées par Area Napoli, Giannoulis se retrouve également dans le viseur de Bologne et de Naples, qui n’aurait aucun mal à répondre aux exigences du club grec.