Les Doubistes, qui restaient sur trois victoires consécutives plutôt convaincantes, sont tombés de haut face à Paris.
« C’est logique. Il n’y a pas de honte à perdre contre Paris. La première mi-temps était plutôt équilibrée. Mais la sortie de Jérémy Bréchet nous a pénalisés. Il y avait trop d’écart entre Paris et nous. En seconde période, on n’a pas existé. Mais voilà, Davies n’est pas là, Maurice-Belay est suspendu, Bréchet sort en début de match… Dès qu’on a deux-trois titulaires en moins, on est en-dessous. Je n’ai jamais cru qu’on allait jouer le haut du tableau. On est à notre place, on est 13e, on est pas si mal », s’est même contenté l’entraineur sochalien, dont l’équipe est en effet loin d’avoir affiché un visage d’une formation de la première partie de tableau dimanche soir.
Pour la plupart des joueurs francs-comtois, Sochaux est passé au travers de son match dimanche soir face au PSG. Contre des Parisiens qui étaient pourtant en plein doute, les Sochaliens n’ont absolument rien montré, et peuvent même s’estimer heureux de ne pas avoir quitté Bonal avec une valise encore plus importante tant Richert a multiplié les prouesses. Comme ses joueurs, Francis Gillot n’avait pas véritablement d’explications pour ce trou d’air.
« C’est logique. Il n’y a pas de honte à perdre contre Paris. La première mi-temps était plutôt équilibrée. Mais la sortie de Jérémy Bréchet nous a pénalisés. Il y avait trop d’écart entre Paris et nous. En seconde période, on n’a pas existé. Mais voilà, Davies n’est pas là, Maurice-Belay est suspendu, Bréchet sort en début de match… Dès qu’on a deux-trois titulaires en moins, on est en-dessous. Je n’ai jamais cru qu’on allait jouer le haut du tableau. On est à notre place, on est 13e, on est pas si mal », s’est même contenté l’entraineur sochalien, dont l’équipe est en effet loin d’avoir affiché un visage d’une formation de la première partie de tableau dimanche soir.