Samedi, la rencontre entre Boulogne et Sochaux n’a pas eu lieu, en raison du terrain du club nordiste rendu impraticable par le froid et les chutes de neige. Un petit soulagement pour les joueurs sochaliens, qui ont vécu deux journées très pénibles pour pas grand-chose au final.
« On est parti vendredi de Sochaux. On a atterri à Lille mais il fallait rejoindre Le Touquet en bus. Il n'y avait que 100 kilomètres à faire mais cela nous a pris plus de sept heures. On était dans les embouteillages sur une autoroute enneigée. Il y avait des camions au milieu de la route. Résultat : on est arrivé à deux heures du matin à l'hôtel. Sans avoir mangé. On a appris le report du match samedi vers 13 heures. Même galère pour rentrer à Sochaux. On a fait ce déplacement pour rien, c'est assez énervant », a reconnu le défenseur doubiste Jacques Faty.