Du côté de Sochaux, le ton commence à monter alors que le club se déplace à Nice.
« Il y a un blocage. Mais j’en ai marre des mots, il faut des actes. Je ne veux pas entendre parler de pression. La pression, ce sont les gens qui n’ont pas à bouffer le matin, qui sont dans la rue qui l’ont. C’est le propre des footballeurs de se poser des questions, là où il n’y a pas lieu de s’en poser. Arrêtons de calculer, lâchons-nous, jouons du mieux possible et on verra après », explique l’entraîneur doubiste dans L’Alsace. Mais Francis Gillot réfute un quelconque coup de gueule contre ses joueurs. « Les coups de gueule, c’est bon pour la presse mais ça ne change rien. Mais je veux qu’on agisse, plutôt que de réagir. Il doit y avoir une prise de conscience sinon on va vite plier bagages », prévient le technicien sochalien avant le match à Nice.