Jorge Sampaoli a du pain sur la planche et il a pu le vérifier ce dimanche en assistant depuis les tribunes du Roazhon Park à la défaite de sa future équipe du Stade Rennais contre Toulouse.
Viré après la claque infligée par Auxerre la semaine dernière, Julien Stéphan n’était pas sur le banc du Stade Rennais contre Toulouse ce dimanche après-midi. Mais en attendant Jorge Sampaoli, futur entraîneur du club breton qui était en tribunes, l’intérimaire Sébastien Tambouret n’a pas fait de miracles. Toulouse est venu s’imposer au Roazhon Park (0-2), et le match a montré l’étendue du chantier pour Jorge Sampaoli. Dans son édition du jour, le journal L’Equipe emploie des mots très forts pour décrire la situation du Stade Rennais avant la prise en mains de l’équipe par le technicien argentin, passé par Marseille ou encore Séville et la sélection chilienne.
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— Foot01.com (@Foot01_com) November 10, 2024
« Sampaoli va reprendre un collectif à l'agonie et des âmes en peine, des joueurs qui globalement n'ont pas l'habitude d'être mal classés » écrit le quotidien national dans son édition du jour. Le travail sera colossal pour redresser la barre, ce que Jorge Sampaoli a déjà fait dans certains de ses clubs précédents. Il faudra que l’Argentin trouve en face de lui des joueurs réceptifs pour avoir ne serait-ce qu’une chance de réussir sa mission. Ludovic Blas est prêt à fournir de gros efforts pour redresser la situation.
Sampaoli a un énorme chantier face à lui
« Il faut trouver une solution au plus vite. Un nouveau coach arrive, en espérant que ça aide, que ça relance quelque chose. Pourvu que ça se passe bien. Le plus important, c'est de se remettre en question tout seul, car même si le coach change, les joueurs restent les mêmes. Mais personne n’abandonne » a promis l’ancien meneur de jeu du FC Nantes. Cela tombe bien, Jorge Sampaoli a horreur des joueurs sans personnalité et qui baissent les bras. La signature du technicien argentin est imminente, le travail va bientôt pouvoir commencer et le changement promet d’être radical avec les méthodes connues à Rennes par le passé, de Bruno Genesio ou de Julien Stéphan.