De plus en plus ambitieux, le Stade Rennais se permet de jouer dans la cour du Paris Saint-Germain sur le marché des transferts. Le club breton s’intéresse à l’attaquant de la Juventus Turin Moise Kean, que les Parisiens voudraient également récupérer cet été.
A huit journées de la fin du championnat, le Stade Rennais peut clairement envisager une qualification en Ligue des Champions. Les Rouge et Noir occupe actuellement la troisième place de Ligue 1, à trois points de l’Olympique de Marseille, deuxième. Autant dire que l’équipe entraînée par Bruno Genesio imagine un recrutement à la hauteur de cette éventuelle réussite. Un billet pour la prestigieuse compétition européenne inciterait forcément la direction à se montrer ambitieuse sur le marché des transferts. Ce qui explique sûrement la piste menant à Moise Kean (22 ans).
🚨 Un échange improbable entre Serhou Guirassy et Moise Kean pourrait avoir lieu entre la Juventus et le Stade Rennais !
— Actu Ligue 1 🇫🇷 (@ActuL1_) April 4, 2022
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Selon plusieurs sources britanniques et italiennes comme TMW, le Stade Rennais ferait partie des courtisans de l’Italien. Il faut dire que le dossier paraît accessible. L’été dernier, Everton avait prêté son avant-centre à la Juventus Turin pour deux saisons avec option d’achat. Le problème, c’est que Moise Kean n’obtient pas le temps de jeu attendu, notamment depuis la signature de Dusan Vlahovic en janvier. L’interruption de son prêt cet été serait donc envisagée, avec la possibilité pour Rennes d’en profiter pour accueillir un attaquant confirmé.
Bien sûr, le pensionnaire du Roazhon Park ne sera pas le seul club intéressé. Depuis plusieurs mois, le nom de Moise Kean alimente également les rumeurs mercato du Paris Saint-Germain, dont les dirigeants n’ont pas oublié ses prestations intéressantes pendant son prêt la saison dernière. Rappelons que le vice-champion de France en titre avait tenté de le conserver, sans succès dans les discussions avec Everton. Une mauvaise nouvelle pour le Stade Rennais, qui pourra néanmoins se démarquer avec l’argument du temps de jeu.
