Désormais officiellement à la lutte pour le maintien, le Stade Rennais fait peur avec ses individualités qui n'apportent rien. Les joueurs arrivés cet été sont pointés du doigt.
Ces dernières années, grâce à une progression continuelle et des moyens importants, le Stade Rennais s’était au moins installé parmi les équipes du haut de tableau en Ligue 1, avec parfois le Top5 comme objectif. Mais la saison dernière, les résultats n’étaient pas au rendez-vous et l’Europe a semblé bien loin. Cette saison, c’est carrément le maintien qui se joue malgré un début de saison idéal avec une large victoire sur l’OL. La suite aura été très compliquée, avec notamment un rendement des recrues très décevant. Encore une fois à Lille, les joueurs achetés cet été ont plongé, et plombé l’équipe même s’ils ne peuvent pas être accusés de tous les maux. En défense, le Norvégien Leo Ostigard n’est pas au niveau défensivement ni dans la relance, ce qui lui vaut par exemple un 4/10 dans les colonnes de Ouest-France après le match à Lille.
Le SRFC s'incline à Lille d'une courte tête. Merci aux 400 supporters Rouge et Noir présents à Pierre-Mauroy.
— Stade Rennais F.C. (@staderennais) November 24, 2024
Cap sur la réception de l'ASSE. 👊
≡ #LOSCSRFC 1-0 pic.twitter.com/8Q0hoHVHUu
L’autre scandinave de l’équipe, le Danois Albert Gronbaek, continue de déprimer les supporters avec ses percussions qui sont souvent sanctionnés de pertes de balles, et le fait qu’il ne fasse clairement pas le poids physiquement non plus. Au moment de donner les notes, Ouest-France lui a par exemple mis 3/10. « Encore trop de pertes de balles. Il doit montrer bien plus que ça, en étant beaucoup plus juste surtout », souligne le quotidien régional, qui assène une note similaire à Glen Kamara, perdu au milieu de terrain et qui représente un autre investissement bien décevant pour le Stade Rennais. De quoi donner du travail à Jorge Sampoli, et aussi au directeur sportif Frédéric Massara, qui n’a clairement pas été inspiré pour le moment à voir le rendement des joueurs bretons jusqu’à présent.