L’entraineur rennais n’a pas voulu considérer la Coupe de France, dont son équipe est finaliste en titre, comme un objectif du club. Mais, à mesure que les tours passent, cela pourrait le devenir, même si Frédéric Antonetti regrette la désertion des stades pour cette épreuve, à l’image du match des 32e de finale face à Caen à la Route de Lorient, qui n’avait même pas franchi la barre des 10.000 spectateurs.
« Le football a un peu évolué. Il y a quelques années, les stades étaient bien plus remplis que maintenant. Plus qu’en championnat. C’était vraiment le phénomène même en 32e de finale. Aujourd’hui ça s’est inversé. Il faut attendre parfois les demi-finales pour voir les stades en fête. C’est nouveau parce qu’il y a beaucoup de football à la télé », a dénoncé l’entraineur rennais qui peut se rassurer, son match de mardi face à Quevilly ne passera pas à la télé, et devrait copieusement garnir le stade de Rouen.