Luis Enrique a été interrogé sur un dossier sensible à l'approche des 1/8e de finale de la Ligue des Champions. Le PSG ne semble pas faire autant d'efforts physiques que ses adversaires, et cette remarque agace l'Espagnol.
Ce mercredi soir pour le compte des huitièmes de finale de la Coupe de France, le PSG reçoit le Stade Brestois. Luis Enrique ne veut aucun relâchement dans son équipe. Le PSG va avoir un calendrier chargé en ce mois de février. Le club de la capitale devra gérer la Coupe de France, la Ligue 1 mais surtout la Ligue des champions. Les hommes de Luis Enrique seront attendus au tournant, alors que les fans et observateurs du club commencent à s'inquiéter. En effet, le PSG affiche de plus en plus de lacunes dans son jeu. La forme physique des joueurs interroge. Luis Enrique veut pourtant un jeu de possession et un pressing de tous les instants lorsque son équipe n'a pas le ballon. Face à Strasbourg, le PSG aura beaucoup subi, notamment en fin de rencontre. En conférence de presse ce mardi, Luis Enrique a tenu à mettre les choses au clair concernant ses joueurs.
Luis Enrique n'en peut plus, la pression monte
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Devant les médias, l'Espagnol n'a en effet pas caché son agacement après des questions sur son jeu de possession et le fait que son PSG soit en-dessous de la moyenne en termes de courses : « Je vois que la question est de chercher des esquisses pour détruire le château, j'adore. Mes équipes jouent la possession pour que l'adversaire court. Nous courons normalement moins que l'adversaire puisqu'il est démontré que si vous avez le ballon et que vous le fait bien circuler, l'adversaire va courir. Je n'ai pas d'autres choses à dire sur le sujet. Dans ma carrière, il n'y a pas eu une seule équipe qui n'a pas parcouru les mètres suffisants pour gagner des matchs. A partir de là, ce sont des réflexions un peu vides qui cherchent ce que vous voulez chercher. Parfait. Mon avis reste le même ». En l'espace de quelques jours, le PSG va enchainer face à Brest, Lille puis la Real Sociedad. L'occasion ensuite de faire un premier gros bilan de l'ère Luis Enrique. Et attention à la chute...