Non seulement le PSG a perdu dimanche soir à Rennes, mais en plus l'équipe de Christophe Galtier a été en dessous de tout. Des voix s'élèvent pour contester la gestion du club et de son effectif.
Deux semaines après le naufrage à Lens, le Paris Saint-Germain a une nouvelle fois sombré, mais cette fois en Bretagne et plus précisément au Roazhon Park. Face à Steve Mandanda et ses coéquipiers, le PSG n’a strictement rien montré, laissant ses supporters et les observateurs pantois devant un désastre. Et, tandis que le match aller des huitièmes de finale de la Ligue des champions face au Bayern Munich se profile, l’inquiétude commence à sérieusement monter du côté parisien, à l’image d’un Christophe Galtier désormais plus tendu. Tandis que la tempête souffle au-dessus du Paris Saint-Germain, Grégory Schneider se demande où va réellement le projet PSG, l’argent coulant à flots sans vraiment savoir si cela avait encore du sens. Pour le journaliste, au retour de Rennes, les dirigeants du Paris Saint-Germain doivent se poser des questions, et les bonnes.
Le PSG coule en Bretagne, c'est grave
⌛️ Fin du match, les Parisiens s'inclinent face à Rennes. #SRFCPSG I 1-0 pic.twitter.com/drMAzwAMmy
— Paris Saint-Germain (@PSG_inside) January 15, 2023
Sur Europe 1, Grégory Schneider est inquiet pour la suite de la saison des champions de France et il dit pourquoi. « Il faut une loupe pour trouver des satisfactions du côté du PSG après cette défaite à Rennes. C’est très difficile. On savait tous que le post-Mondial serait compliqué, c’est deux saisons en une. Mais là on a la preuve, ils ont perdu deux matchs sur trois, c’est la preuve qu’il y a quelque chose qui a craqué. Le match contre le Bayern Munich s’approche, et ça va évidemment monter en pression là-dessus surtout s’il y a des insatisfactions dans le jeu. On voit bien que sans Verratti ça manque même de personnalité. L’équipe parisienne est un peu transparente. Mais bon avec un budget d’un milliard d’euros tu es dépendant d’un joueur, il faut tout arrêter », ironise le journaliste, qui n’est pas le seul à s’interroger sur la manière dont le Paris Saint-Germain fonctionne, un an à peine après la fameuse révolution décrétée par Nasser Al-Khelaifi.