Réunion d’urgence au PSG, Luis Enrique hausse le ton

Réunion d’urgence au PSG, Luis Enrique hausse le ton

Victime d’une fracture de la cheville gauche, Gonçalo Ramos pourrait être absent pendant plus de trois mois. Inquiet, le Paris Saint-Germain a tenu une réunion vendredi soir. Un entretien durant lequel l’entraîneur Luis Enrique a exigé le recrutement d’un nouvel attaquant cet été.

Le verdict est tombé. Touché à la cheville gauche au Havre (victoire 1-4) vendredi, lors du match d’ouverture de la Ligue 1, Gonçalo Ramos souffre d’une fracture. L’attaquant du Paris Saint-Germain va subir une opération et manquera les trois prochains mois de compétition. C’est en tout cas la durée d’absence indiquée par nos confrères du Parisien. Pendant ce temps-là, d’autres sources indiquent que le Portugais pourrait passer quelques semaines de plus à l'infirmerie.

Le compte Sports Zone sur le réseau social X affirme que l’ancien joueur de Benfica pourrait être indisponible jusqu’en janvier. Avant même de connaître la mauvaise nouvelle, le Paris Saint-Germain a tenu une réunion vendredi soir après le match au Havre. Déjà inquiet pour Gonçalo Ramos, Luis Enrique a annoncé à ses dirigeants qu’en cas de longue absence de son attaquant, la venue d’un nouvel avant-centre serait nécessaire. Le club de la capitale va donc se lancer à la recherche d’un renfort en pointe, confirme RMC.

Retour sur la piste Osimhen ?

Il faut dire que sans l’international portugais, et sachant que le départ de Kylian Mbappé n’a pas été compensé, le Paris Saint-Germain n’a plus qu’un seul attaquant disponible, à savoir Randal Kolo Muani. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’international français n’a pas donné satisfaction depuis son arrivée l’été dernier. Son entrée en jeu à la place de Gonçalo Ramos vendredi n’a pas séduit. A tel point que les décideurs parisiens ne s’imaginent pas lui confier les clés de l’attaque pendant la première partie de saison. Reste à savoir si le Paris Saint-Germain reviendra à la charge pour le Nigérian Victor Osimhen, dont la clause libératoire à Naples atteint les 130 millions d’euros.