L’objectif du Paris Saint-Germain à la reprise, était avant tout de n’avoir aucun blessé pour mieux aborder la phase finale de la Ligue des champions.
C’est un échec total avec plusieurs joueurs déjà forfaits et des incertains, y compris chez les éléments majeurs. Kylian Mbappé est très incertain, Marco Verratti est quasiment forfait, tandis que Juan Bernat fait tout juste son retour. Forcément, le PSG attaque donc la confrontation face à l’Atalanta avec moins de certitudes, et à ce sujet, Nabil Djellit a une explication assez déroutante.
« Cela met en lumière aussi le PSG version Qatar. C'est-à-dire qu'en gros, ça met en lumière le manque de fond de jeu. Il y a des équipes ailleurs dans d'autres grands pays qui vont avoir des absents. Tu vas changer un joueur par rapport à un autre et tu ne vas pas vraiment voir la différence. Avec le PSG version Qatar, ce sont des grands noms donc dès que tu as un grand nom qui n'est pas là, c'est la panique ou un magnétisme négatif. La saison passée, l'Ajax perdait un joueur et tu ne voyais pas la différence. Si tu as un collectif assez fort, peut-être qu'on pondérerait les absences mais comme c'est une équipe qui se construit sur des stars, toute de suite, elles prennent toute la place », a souligné le journaliste de France Football, persuadé que les absences se compensent mieux dans les autres clubs. A voir tout de même ce que va donner le Real Madrid sans Sergio Ramos à Manchester City, ou si le RB Leipzig sera aussi fringuant au prochain match sans Timo Werner.