C’est l’une de ses spécialités, Leonardo a surpris tout le monde en allant chercher Alessandro Florenzi en prêt cette semaine.
Une arrivée qui permet de combler un manque identifié avec un joueur d’expérience qui conserve son statut d’international italien. Le tout pour zéro euro, avec une option d’achat activable en cas de bonne performance. Un joli coup où le PSG n’a pas grand-chose à perdre, même si cela pose clairement question aux yeux de Philippe Carayon. Pour le journaliste de Canal+, malgré les 50 ME mis pour lever l’option d’achat de Mauro Icardi, le PSG semble vraiment coincé sur le plan financier, et parait incapable de lâcher une grosse somme pour des renforts qui sont pourtant ciblés et capitaux. L'obligation de vendre des joueurs avant d'acheter l'étonne clairement en ce début de saison.
« Florenzi, c’est un pile ou face assez étonnant. Car dans sa bonne période, Alessandro Florenzi était assez exceptionnel. Dans son couloir, il montait comme un fou, technique, élégant, dangereux, c’était vraiment un top joueur. Après ses doubles blessures au genou, ce n’est pas forcément le même joueur et cette saison à Valence il a été très moyen. Cela pose la question de savoir si le Qatar n’a pas décidé de fermer le robinet financier, car on n’est pas habitué à voir le PSG tenter des coups comme ça. Financièrement, ce n’est pas dans le canon récent des investissements de ce club », a prévenu l’intervenant du Late Football Club, qui s’étonne de voir ainsi le PSG à la sauce QSI ne pas faire un seul gros transfert alors que la formation de Thomas Tuchel a tout de même perdu très gros avec Cavani, Thiago Silva ou Meunier, sans parler du manque identifié d'un milieu de terrain de grand standing devant la défense.