Osimhen pour 81 ME, Naples a trouvé 2 autres pigeons

Osimhen pour 81 ME, Naples a trouvé 2 autres pigeons

Prêté sans option d’achat à Galatasaray cet été, Victor Osimhen pourrait faire l’objet d’un transfert définitif avant la fin de la saison. Le club turc et Naples ont négocié une clause permettant d’interrompre le prêt en cas d’offre généreuse pour l’attaquant nigérian. Une option qui pourrait être utilisée.

Naples a tout perdu dans le feuilleton Victor Osimhen. En conflit avec son attaquant, le club italien espérait conclure un gros transfert cet été. Le président Aurelio De Laurentiis s’est frotté les mains en voyant débarquer le Paris Saint-Germain, à qu’il a réclamé le montant de la clause libératoire estimée entre 130 et 140 millions d’euros. Bien évidemment, le champion de France en titre n’a jamais envisagé une telle folie. Et finalement, après la fermeture du mercato dans les principaux championnats européens, le Napoli a été contraint de prêter son indésirable à Galatasaray sans option d’achat.

Un miracle pour Naples ?

Une sorte d’aveu d’échec pour Naples qui pourrait néanmoins s’en sortir avec une opération miraculeuse. En effet, l’actuel leader de Serie A s’était entendu avec Galatasaray pour inclure une clause spéciale dans le deal. Celle-ci permet d’interrompre le prêt de Victor Osimhen si un club propose 81 millions d’euros, dont 6 millions d’euros reviendraient à Galatasaray en guise de compensation, pour le transfert définitif de l’avant-centre nigérian. Le montant avait de quoi refroidir les éventuels courtisans de l’ancien Lillois. Et pourtant, le Corriere dello Sport nous apprend que deux formations pourraient s’aligner.

De manière inattendue, Galatasaray serait prêt à investir les 81 millions d’euros afin de garder Victor Osimhen. C’est dire à quel point les Turcs sont satisfaits des débuts du Napolitain, auteur de deux buts et autant de passes décisives en trois matchs de championnat. Le média rappelle également l’énorme popularité du joueur auprès des supporters locaux. Suffisant pour inciter Galatasaray à miser gros, pendant que Chelsea, déjà intéressé cet été, serait toujours à l’affût et susceptible de payer la somme fixée. Le Paris Saint-Germain n’est donc plus de la partie.