Dimanche soir, L’Equipe a balancé une véritable bombe sur l’avenir du Paris Saint-Germain.
En effet, le club de la capitale est prêt à laisser filer Neymar, deux ans après l’arrivée du Brésilien en provenance de Barcelone pour 222 ME. De son côté, le n°10 parisien est également prêt à faire ses valises, lassé de la spirale négative dans laquelle il est embourbée. Mais en cas de départ de Paris au mercato, quels sont les clubs qui ont les ressources financières pour l’accueillir, tout en satisfaisant les attentes financières du Paris Saint-Germain ? Selon les informations de L’Equipe, il n’y a finalement que trois pistes réellement crédibles…
« Plus encore que l'indemnité XXL que devra débourser un éventuel aspirant, c'est peut-être son salaire - 30 M€ net par an, auxquels il faut ajouter les charges - qui le rend inaccessible à la plupart des clubs. À ce jour, la piste la plus envisageable reste un retour au Barça » explique tout d’abord le quotidien national, avant d’embrayer sur le Real Madrid. « L'autre destination possible pour Neymar en Liga mène au Real Madrid. Il n'en est pas la priorité mais les deux sont faits pour s'entendre : la jeune pépite de Santos avait d'ailleurs failli s'engager sous le maillot blanc à l'âge de treize ans. Les Merengue ont les moyens de sortir le chéquier et, en cas d'échec à faire venir Kylian Mbappé, ils pourraient se rabattre sur son partenaire parisien, dont l'éclat marketing plaît à Florentino Pérez ».
MU, le prétendant surprise
Enfin, et c’est une surprise, le troisième club susceptible d’accueillir Neymar se nommerait… Manchester United, qui ne disputera pourtant pas la Ligue des Champions la saison prochaine. « Manchester United est un aspirant crédible, aussi. S'il revend Paul Pogba, le club du nord de l'Angleterre aura le cash suffisant et sera disposé à confier au « Ney » les clés de sa reconstruction ». Autant dire que dans les prochaines semaines, c’est un choix crucial pour son avenir que la star du PSG devra prendre. Même si pour l’heure bien-sûr, il est encore loin d’avoir quitté Paris. Car un transfert de cette envergure demandera à l’évidence de nombreuses semaines de travail.