Blessé aux côtes, Neymar va manquer le déplacement du Paris Saint-Germain à Nantes mardi soir dans le cadre de la 23e journée de Ligue 1.
Une blessure qui tombe mal pour le Brésilien, qui fêtait dimanche soir son anniversaire dans une grande boite de nuit parisienne. Et pour cause, Thomas Tuchel avait émis un avis négatif au sujet de la tenue de cette grande soirée, à laquelle était invitée l’ensemble de l’effectif du PSG. Pour Daniel Riolo, il est bien évident que la gestion des blessés par le Paris Saint-Germain est tout simplement catastrophique. Le journaliste de RMC estime notamment que la peur s’installe, doucement mais surement, à seize jours du déplacement crucial à Dortmund afin d’y défier le Borussia en 8e de finale aller de la Ligue des Champions.
Daniel Riolo allume le PSG... et Neymar
« Quand Neymar a calé son anniversaire, il ne savait pas que le match Nantes-PSG allait être décalé au mardi donc c’était déjà une aberration. Ensuite, il se blesse aux côtes, cela nécessite du repos. Mais vu qu’il a déjà calé les invitations pour son anniversaire, il est quand même obligé d’aller faire la nouba toute la nuit et de picoler. Tout est absolument normal au club » a indiqué Daniel Riolo, qui a également évoqué la situation d’Abdou Diallo, blessé à la cuisse et out pour au moins 3 semaines.
« C’est comme Diallo, expliquez-moi à quel moment il s’est blessé ? Car pour rappel, samedi après-midi il était sur le banc du PSG contre Montpellier ! C’est absurde. La gestion de ce club est absurde, c’est une aberration. Et la psychose fait que plus tu approches des grands rendez-vous, plus la gestion est stupide. Les gens sont tellement dans la paranoïa que ça commence à trembloter, ça commence à chier dans son bene, ils ne savent plus quoi faire. Tout allait bien depuis deux mois et comme par hasard, à 16 jours du match à Dortmund, Neymar se pète aux côtes parce qu’il ne fait pas attention, qu’il fait le con sur le terrain… ». On l’aura bien compris, Daniel Riolo est très remonté après le PSG pour sa gestion très mauvaise des blessés. L’histoire se répète…