En difficulté cette saison au Real Madrid, Rodrygo a l’entière confiance de ses supérieurs. La Maison Blanche n’a pas ouvert la porte lorsque le Paris Saint-Germain a manifesté un intérêt pour le Brésilien. Et de son côté, l’attaquant polyvalent souhaite rester dans la capitale espagnole.
Pendant que le Real Madrid attend patiemment la possible arrivée libre de Kylian Mbappé l’été prochain, le Paris Saint-Germain ne s’interdit pas de jeter un œil à l’effectif madrilène. Ces dernières années, de nombreuses rumeurs évoquaient un intérêt parisien pour Vinicius Junior. Mais l’ailier brésilien n’est pas le seul Merengue ciblé par la direction francilienne. Selon le média espagnol E-Noticies, le club de la capitale française, et surtout son entraîneur Luis Enrique, apprécient également le profil de Rodrygo.
Le PSG serait prêt à mettre 100 M€
Les deux formations en auraient discuté pendant le dernier mercato et le Paris Saint-Germain serait prêt à débourser 100 millions pour l’attaquant polyvalent. Mais cela reste insuffisant pour convaincre le Real Madrid. Malgré ses difficultés cette saison, avec seulement un but et une passe décisive en 11 matchs toutes compétitions confondues, Rodrygo garde la confiance de l’entraîneur Carlo Ancelotti et du président Florentino Pérez. La Maison Blanche a donc fermé la porté aux négociations pour son transfert.
Las cosas no siempre salen como espero, pero no faltará dedicación y trabajo para ayudar a este equipo! 🤍 @realmadrid Gracias por su apoyo siempre! pic.twitter.com/pS9C6ccxxd
— Rodrygo Goes (@RodrygoGoes) October 7, 2023
De toute façon, le principal intéressé n’est pas chaud à l’idée de signer au Paris Saint-Germain. Cet été, au moment de commenter son actualité mercato, le Brésilien de 22 ans avait juré fidélité au Real Madrid. « C'est une très bonne nouvelle que l'on parle de moi, tant que c'est en bien, avait réagi l’ancien talent de Santos. Mais je ne quitterais le Real Madrid pour rien au monde. Je resterai ici toute ma vie, c'est très clair pour moi, je suis Madrilène. » Au moins jusqu’en 2025, date d’expiration de son contrat actuel, dans lequel figure une clause libératoire fixée à un milliard d’euros.