A l'occasion de Téléfoot, Bixente Lizarazu est revenu sur la mise à l'écart d'Ousmane Dembélé lors du match Arsenal-PSG. Pour le consultant de TF1, l'entraîneur du Paris SG s'est lourdement trompé.
Le Paris Saint-Germain est revenu avec zéro point en Ligue des champions de son match à l'Emirates Stadium, mais en plus le club de la capitale s'est offert une belle polémique autour des choix et du comportement de Luis Enrique. Si l'on met de côté le buzz négatif provoqué par l'attitude du technicien espagnol avec Margot Dumont en direct sur Canal+, c'est évidemment le choix fait par Luis Enrique de se passer d'Ousmane Dembélé pour des raisons disciplinaires qui a fait du bruit et qui en fait encore. Ce dimanche, lors de Téléfoot, Bixente Lizarazu est revenu sur cette sanction prononcée par le coach du PSG contre son attaquant vedette. Et le champion du monde 1998 n'a pas été tendre avec l'Espagnol, estimant qu'il avait faux sur toute la ligne.
Luis Enrique confond autorité et autoritarisme
"Parfois, il ne faut pas confondre autorité et autoritarisme !"
— Téléfoot (@telefoot_TF1) October 6, 2024
Bixente Lizarazu se questionne sur le management de Luis Enrique. pic.twitter.com/iMQN8fJfDH
Au micro de TF1, Bixente Lizarazu a dit tout le mal qu'il pensait du comportement de Luis Enrique vis-à-vis d'Ousmane Dembélé, lequel est bien présent ce dimanche pour le déplacement qu'effectue le PSG à Nice. « Parfois, il ne faut pas confondre autorité et autoritarisme ! Le suspendre de ce match, c'est un peu grossier. Surtout quand on connaît l'état d'esprit d'Ousmane Dembélé », a regretté le consultant de Téléfoot, qui estime donc que Luis Enrique n'a pas été à la hauteur avec ce choix que l'entraîneur du Paris Saint-Germain a totalement assumé. Pour l'Espagnol, ceux qui ne suivent pas les règles du groupe se mettent à l'écart du groupe, et cela a été le cas pour Ousmane Dembélé. Visiblement, Lizarazu n'est pas d'accord avec cela, même si lorsqu'il jouait au Bayern Munich ce dernier savait que les dirigeants et le staff du club allemand plaçaient l'institution avant les joueurs.