En cette période de crise sanitaire, les joueurs de plusieurs gros clubs français (PSG, OL, OM) se sont tristement distingués en refusant de baisser leurs salaires.
Au Paris Saint-Germain, c’est le capitaine Thiago Silva qui était en charge de négocier cette baisse salariale avec le président Nasser Al-Khelaïfi. Mais, en fin de contrat au 30 juin, le Brésilien n’a accepté aucun effort sur sa rémunération. Un choix radical qui n’a pas manqué de cristalliser les critiques de plusieurs supporters… mais également de certains observateurs. Dans les colonnes de France Football, Julien Cazarre n’a par exemple pas pris de pincettes pour épingler l’attitude de l’ancien défenseur de l’AC Milan. En maniant l’ironie comme il sait si bien le faire.
« Ah, voilà, ça, c’est un capitaine ! Ça, c’est un gars qui en a dans le froc ! Bravo Thiago Silva, t’es un boss… Qui fait face alors que tant d’autres se cachent ? Le seul vrai capitaine brésilien qui marquera l’histoire du club de la capitale, j’ai nommé Thiago Silva, qui a eu le courage d’aller affronter le tout-puissant Nasser pour lui annoncer droit comme un I… qu’il ne ferait aucun geste de solidarité envers le club concernant la baisse de salaire. Ha, ha, ha, vous faites moins les malins, là ! J’en entends déjà dire : « Oh, ça va, avec l’argent du Qatar on ne va pas chialer ». Seulement, je rappelle qu’à cause du fair-play financier, le moustachu à turban ne peut pas balancer la thune comme un cadre sup au Pink Paradise. On disait de manière totalement éhontée qu’O Monstro était isolé dans le vestiaire. Eh ben, BIM ! Fake news. Tous les joueurs se sont glissés dans le sillage de notre Thiago pour eux aussi refuser un accord de baisse salariale. Ça doit bien faire fermer les bouches de ceux qui pensaient que les gars ne pensaient qu’à eux et n’étaient pas solidaires » a lâché l’humoriste, supporter assumé du PSG et visiblement dégoûté par la tournure des événements. Ce n’est pas le seul.