Au cœur d’une nouvelle affaire de chantage à la vidéo, Layvin Kurzawa peut espérer passer à travers les gouttes.
Plusieurs malfaiteurs ont tenté de faire payer le défenseur du Paris Saint-Germain pour qu'ils ne diffusent pas une vidéo dans laquelle le latéral gauche s’en prenait à Didier Deschamps, lors d’une soirée avec des amis dans un bar à chicha. Cinq hommes ont été arrêtés et mis en examen par la police judiciaire pour avoir tenté de faire chanter Kurzawa à hauteur de 250.000 euros, avant de projeter d’agresser directement le joueur pour lui faire peur et l’inciter à payer.
Pour l’heure, si cette affaire fait forcément du bruit, l’ancien monégasque n’a rien à craindre de la part du PSG. « Il ne peut pas y avoir de sanction du club comme dans l’affaire Aurier. Ce n’est pas la même configuration », explique ainsi à Aujourd’hui en France le club de la capitale. De son côté, la Fédération Française de Football parle aussi d’une « affaire privée », tant dans les propos de Kurzawa que dans la sphère où ils ont été prononcés. Toutefois, la situation changerait forcément si jamais la vidéo venait à être diffusée ou à fuiter, ce qui pourrait mettre le défenseur international dans une position délicate avec Didier Deschamps si jamais les propos étaient particulièrement virulents.