De nouveau sorti dès les huitièmes de finale, le Paris Saint-Germain collectionne les échecs en Ligue des Champions. Mais que doit faire le club francilien pour la remporter ?
Dans une vidéo publiée sur le site du quotidien Le Parisien, Dominique Sévérac s’est penché sur la question. Et selon lui, cet objectif passera par quelques sacrifices, notamment dans l’effectif. Sans parler d’Adrien Rabiot, dont le départ en fin de contrat est inévitable, le journaliste dirait au revoir au gardien Gianluigi Buffon. « Nous nous sommes tant aimés, c’était super mais non, s’est-il amusé, en gardant le même ton sur Dani Alves. C’est un peu le même procédé. 36 ans en mai, blessé deux fois en moins d’un an. Merci pour tout Dani, c’était sympa, on a bien rigolé. »
Cavani, merci pour tout…
Idem pour le milieu Julian Draxler, à qui Sévérac reproche son seul petit but inscrit en Ligue des Champions, c’était contre le Barça (4-0) en 2017. « Depuis on a éteint la lumière », a constaté notre confrère, qui accepte de se faire « lyncher » en évoquant le cas Edinson Cavani. « C’est la dernière fenêtre pour récupérer un peu de sous, a-t-il souligné. Alors là en revanche, pas beaucoup d’ironie : c’était vraiment génial, on a kiffé mais toutes les bonnes choses ont une fin. »
Et après l’effectif, Sévérac s’est attaqué à l’organigramme, réclamant « les pleins pouvoirs » pour le coach Thomas Tuchel. Mais surtout le départ du président Nasser Al-Khelaïfi pour changer d’ère. Enfin, à condition de ne pas « le remplacer par un Qatari qui viendra faire la même chose avec un autre nom, il faut vraiment trouver quelqu’un qui incarne un pouvoir fort et puis dans la foulée le directeur sportif. » Eh non, Antero Henrique n’échappe pas au coup de balai réclamé.