Il est toujours plus facile de tirer sur une ambulance et depuis mercredi 23h le Paris Saint-Germain le constate brutalement. Depuis le crash à Barcelone, le PSG prend des coups de partout, et l'incident avec Serge Aurier, dimanche soir à Lorient, a évidemment remis de l'huile sur le feu. Denis Balbir est venu faire entendre sa voix et pas pour dire du bien du club de la capitale et de son défenseur.
Via Yahoo, le journaliste a tapé là où ça fait mal. « L’épisode Serge Aurier aurait pu faire sourire, mais il est à pleurer… Comment un joueur à qui on a tout pardonné ou presque peut-être à ce point aussi nonchalant envers lui-même, ses coéquipiers, son club, son métier, et mettre plus de sept minutes à remplacer un coéquipier blessé ? On est à des années lumières des exigences du haut niveau. La faute à qui ? À ceux qui ont toujours cru que les angles étaient ronds. On l'avait dit au moment où le joueur ivoirien avait déjà dérapé. Aurier n'a plus rien à faire à Paris. Quand un club cherche un second souffle, que des joueurs majeurs sont aperçus en boîte de nuit paraît-il avant un match, ou que les vautours tournent les pages en faisant la liste des joueurs qui souhaiteraient quitter le club de la capitale, le minimum est de faire le dos rond. La présidence du club est bien trop clémente », fulmine, sur Yahoo, un Denis Balbir très remonté.