PSG ‍: Akliouche après Kvara, Barcola stoppe sa prolongation

PSG : Akliouche après Kvara, Barcola stoppe sa prolongation

Auteur d’une belle saison avec le Paris Saint-Germain, Bradley Barcola a convaincu ses dirigeants de lui offrir une revalorisation salariale. Mais de son côté, l’ailier français préfère temporiser à cause du recrutement de nouveau souhaité à son poste.

Même si Désiré Doué et Khvicha Kvaratskhelia lui volent la vedette, Bradley Barcola reste une valeur sûre pour Luis Enrique. L’ailier de 22 ans donne entière satisfaction à l’entraîneur du Paris Saint-Germain. Mais aussi à la direction qui souhaite le récompenser. Selon les informations de L’Equipe, le club de la capitale a pris conscience que le salaire de l’international français, estimé à 550 000 euros brut par mois, ne correspondait plus à sa nouvelle dimension.

Les discussions lancées mais...

Le conseiller Luis Campos a donc pour objectif de le revaloriser en prolongeant son contrat actuel qui expire en 2028. Toujours d’après nos confrères, le Portugais devrait attendre la fin de la saison pour transmettre une offre à Bradley Barcola. Un délais tout à fait acceptable pour l’ancien joueur de l’Olympique Lyonnais qui n’est absolument pas pressé de se réengager. Pire encore, le Parisien n’est pas certain de signer un nouveau bail au Paris Saint-Germain. Le quotidien sportif confirme que Bradley Barcola n’a que moyennement apprécié la signature d’un concurrent tel que Khvicha Kvaratskhelia cet hiver. Et voici que ses dirigeants préparent l’arrivée d’un nouveau renfort dans le secteur offensif.

Cet été, le champion de France va tenter de recruter le jeune talent de l’AS Monaco Maghnes Akliouche. Autant dire que l’international Espoirs tricolore, lui aussi polyvalent, pourrait devenir une menace supplémentaire pour Bradley Barcola. Avec une si grande concurrence au sein du secteur offensif, son temps de jeu risque de diminuer, notamment lors des rendez-vous les plus importants de la saison. C’est pourquoi le natif de Villeurbanne préfère lui aussi attendre l’été pour observer les plans de ses supérieurs sur le marché des transferts.