L'avenir de Kays Ruiz-Atil provoque des remous au PSG, avec un Nasser Al-Khelaïfi qui veut en faire un exemple à suivre.
Avec un marché des transferts qui s’est terminé en octobre, la seconde fenêtre de la saison va vite se rouvrir. Dans une grosse semaine, les transferts pourront reprendre. Si comme souvent, cela va s’affoler dans les derniers jours de janvier quand le gong se rapprochera, cette date du 1er janvier n’est pas anodine pour les joueurs en fin de contrat. Ces derniers peuvent en effet librement négocier avec le club de leur choix, sans que ce dernier ne passe pas leur formation actuelle. Une situation qui dérange notamment le PSG, qui en a visiblement marre de perdre ses jeunes joueurs, et entend bien inverser la tendance avec Kays Ruiz-Atil. Le jeune prodige né à Lyon et formé au Barça n’a toujours pas prolongé malgré les offres qui se multiplient de la part du Paris SG. Nasser Al-Khelaïfi fait le forcing pour le convaincre, mais il y a toujours un petit truc qui coince.
Actuellement selon L’Equipe, ce serait l’étalement du versement de sa prime à la signature, estimée entre 1,5 et 2 ME. De quoi retarder la fameuse signature pour des raisons plus sportives ? Car Ruiz-Atil a toujours affiché son désir d’avoir du temps de jeu avec les pros, ce qu’il n’a pas actuellement, puisque malgré les absences, il peine à se faire sa place dans le groupe. Alors, le PSG l’écarte-t-il pour l’inciter à signer, ou le jeune milieu de terrain rechigne-t-il à signer par faute de temps de jeu ? Eternelle question, mais le président du Paris SG le sait bien, si le cap de la nouvelle année est franchie sans prolongation, le risque de voir Ruiz-Atil rejoindre les rangs des joueurs parisiens partis sans rapporter un centime est grand.