Revenant sur la 37e journée de Ligue 1 marquée par le sacre officiel du Paris Saint-Germain, Pierre Ménès a fait remarquer que dans le sprint final le club de la capitale avait été le seul à réussir un sans-faute total. Un résultat qui doit évidemment beaucoup aux joueurs du PSG, mais également à son entraîneur, Laurent Blanc, que certains ont longtemps démoli estimant qu’il n’avait pas les reins assez solides pour diriger le PSG.
« Décidément, Laurent Blanc est vraiment un gros nul. A neuf journées de la fin, il avait dit que toutes les équipes laisseraient des points en route. Il faut donc saluer son manque de clairvoyance, puisque le PSG a signé à Montpellier sa 8e victoire consécutive - record de la saison dernière égalé -, qui lui assure un titre assez large finalement (8 points d’avance sur le second). Au final, personne n’a résisté au sprint des Parisiens qui, comme à Nantes, ont fait la différence en première période sur la pelouse de la Mosson (…) Et on constate que sur cette fin de saison, avec une concentration et un investissement très nettement supérieurs à ceux de la première partie, Paris n’a aucun rival. Compte tenu de la qualité de son effectif, c’est assez logique. La seule ombre au tableau, c’est le carton jaune de Pastore qui le privera de la finale de la Coupe de France. L’Argentin qui n’a donc pas le droit de tenter de petit pont. Car c’est ça qui lui a valu une gifle et a provoqué ensuite une échauffourée au terme de laquelle il a pris ce jaune de la part d’un monsieur Fautrel qui aura exercé un arbitrage pitoyable tout au long de la soirée », a balancé, sur son blog, Pierre Ménès.