Avec ses montants exorbitants et ses salaires totalement démesurés même pour l’Europe, la Chine a encore une fois débarqué en force sur le marché des transferts cet hiver.
Et désormais, ce ne sont plus les joueurs en fin de carrière ou les anciennes gloires que les clubs chinois veulent, mais bien ce qui se fait de mieux en Europe. Les confessions du président de Tianjin Quanjian démontrent que la puissance émergente du football mondial ose tout, et pourrait bien encore avoir gain de cause sur quelques gros dossiers.
« Nous avons fait une offre pour Benzema. Nous avions déjà préparé des contrats pour Falcao et Raul Jimenez. Les deux devaient signer leurs contrats, mais les nouvelles règles nous ont forcé à abandonner ces deux dossiers. Le PSG nous a fait savoir que Cavani ne serait autorisé à partir qu’en juin même si le joueur était d’accord pour nous rejoindre. On peut dire la même chose pour Costa, car Chelsea voulait aussi le conserver jusqu’en juin », a explique le patron du nouveau club d’Axel Witsel à la télévision locale. En effet, le gouvernement chinois essaye de limiter les investissements des clubs de football, qui provoquent la passion chez les supporters, mais font bien évidemment grincer des dents vues les sommes dépensées. En attendant le mois de juin, et la nouvelle vague d’attaque des clubs chinois.