Le feuilleton entre Mauro Icardi et Wanda Nara rebondit quasiment chaque jour, et le PSG n'est clairement pas fâché d'avoir éjecté de force l'attaquant parisien de son effectif cet été.
Netflix ne s’est pas encore penché sur le sujet, mais nul doute qu’il y a de quoi réunir quelques ingrédients d’un « soap-opera » international. La presse people, mais aussi inévitablement la presse sportive, suit de près les pérégrinations de Mauro Icardi et son épouse Wanda Nara, qui se séparent chaque mois, pour finalement se réconcilier, tout cela sur les réseaux sociaux. Véritable mise en scène ou couple explosif, la marge est mince mais l’attaquant argentin laisse le football au second plan. Galatasaray ne l’a même pas vu à l’entrainement ces derniers jours. Après le message de Wanda Nara sur Instagram annonçant sa séparation avec le joueur prêt par le PSG, ce dernier avait confirmé la situation désastreuse du couple en révélant des messages privés qui montraient à quel point sa plantureuse femme était « toxique », selon ses dires.
Icardi parti, Galtier doit être soulagé
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Cela ne l’a pas empêché de rejoindre l’Argentine, où son épouse s’était réfugiée, et de se faire jeter à l’entrée de sa propre maison. Mais dans le dernier épisode de ce feuilleton, Icardi a donné des nouvelles positives à ses yeux, à savoir qu’il était de retour en Turquie, et avec une bonne nouvelle puisqu’il était désormais à nouveau heureux. Une réconciliation fêtée par plusieurs messages dans ses storys sur Instagram. Absent de la feuille de match samedi dernier, l’ancien buteur du Paris SG a déjà vu sa cote d’amour tomber en flèche en seulement quelques semaines à Galatasaray. Nul doute que le club d’Istanbul n’insistera pas pour conserver l’Argentin en fin de saison, malgré les conditions financières très avantageuses fournies par le club parisien. Mais du côté du PSG, on préfère clairement payer Icardi à faire le buzz ailleurs que dans la capitale, où le vestiaire a été nettoyé cet été pour éviter ce genre de problèmes. Et nul doute que Christophe Galtier doit savourer le fait de ne pas avoir à répondre à la presse sur les absences de son attaquant pour aller gérer sa vie familiale à l’autre bout du monde.