Un après son arrivée au PSG, Luis Enrique a séduit ses dirigeants et voit même ses pouvoirs être augmentés. Néanmoins, il aurait aussi mis un peu de temps à réaliser dans quel club il a mis les pieds.
Pour sa première saison au PSG, Luis Enrique a réussi à traverser les épreuves sans trop souffrir. Et pourtant, la situation n’était pas facile avec un effectif en reconstruction, un Kylian Mbappé puni en début de saison, puis de nouveau dans la dernière ligne droite. Des directives venues d’en haut même si l’entraineur espagnol s’est toujours défendu d’être le seul décideur. Un vrai mic-mac qui a certainement du surprendre l’ancien coach du FC Barcelone et de la sélection espagnole, qui a compris pourquoi le PSG avait du mal à grandir en tant que club.
Le PSG a un président incompétent
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— Paris Saint-Germain (@PSG_inside) July 11, 2024
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Pour Daniel Riolo, Luis Enrique a compris à quel point le Paris Saint-Germain était gangréné par son propre président, puisque le polémiste de RMC n’hésite pas à accuser Nasser Al-Khelaïfi pour expliquer la mauvaise gestion des stars du club, avec Kylian Mbappé en dernière victime. « Même s’il a eu quelques éclairs où Mbappé a pu montrer qu’il était important pour le PSG comme face à la Real Sociedad, cela n’a pas réussi à gommer tout ce qu’il s’est passé dans cette année où une fois de plus le club a été géré n’importe comment. Luis Enrique a essayé de se débattre au milieu de tout ça, en essayant de faire le patron, mais il s’est bien rendu compte, comme tous les autres avant lui, du bordel qu’il peut y avoir à cause d’un président incompétent comme celui du PSG. Mbappé est sorti de la machine qu’il était, où il avait un chemin dont il ne déviait pas, c’était celui de la performance », a livré Daniel Riolo, pour qui le PSG irait bien mieux sans Nasser Al-Khelaïfi, malgré la longévité du dirigeant qatari, et le respect qu’il a su gagner au sein du club et des instances, françaises comme européennes.
Pas suffisant pour convaincre un Daniel Riolo persuadé que le champion de France gagnerait à balayer sa direction pour repartir sur une gestion plus saine. Un message enjoué à l’Emir du Qatar mais qui restera lettre morte, le patron de l’état gazier étant très proche de « NAK » et lui faisait entièrement confiance pour gérer au mieux ses investissements dans la capitale française.