Même si la gronde des acteurs du football mondial, et notamment les joueurs internationaux, monte à propos d’un calendrier global trop chargé, Luis Enrique se dit favorable à la nouvelle formule de la Coupe du Monde des clubs.
Ces dernières semaines, alors que le rythme effréné des compétitions se poursuit entre les clubs et les matchs de sélections, de nombreux joueurs ont tiré la sonnette d'alarme sur le calendrier trop chargé. Certains, comme Rodri ou Koundé, ayant même commencé à évoquer la menace d’une grève des joueurs afin que leur voix soit entendue par les instances. En même temps, l’enchaînement des matchs tous les trois jours, avec trop peu de pauses, met en danger les joueurs au niveau physique et mental. Pourtant, la FIFA va rajouter une compétition à la fin de la saison avec la nouvelle formule de sa Coupe du Monde des clubs. Celle-ci va réunir 32 clubs durant un mois aux Etats-Unis, entre le 15 juin et le 23 juillet 2025, sur une période habituellement dédiée aux vacances. Autant dire que cette compétition est décriée par tout le monde, sauf par Luis Enrique, qui a hâte de disputer cette compétition avec le PSG.
« Tout le monde veut aller au Mondial des clubs »
🎙️ Luis Enrique : « Jouer au Parc nous stimule » 💬
— Paris Saint-Germain (@PSG_inside) September 26, 2024
L’entraîneur du Paris Saint-Germain a répondu aux questions de PSG TV et des médias avant #PSGSRFC. Extraits. ⤵️
« Une fois tous les quatre ans, il y a cette nouvelle compétition extrêmement excitante. Tout le monde veut aller au Mondial des clubs. Bien sûr que ce sont les acteurs qui doivent prendre la parole. Je comprends et je suis d’accord, le calendrier est très chargé, en particulier celui de Manchester City. Le nôtre l’est moins puisque nous avons deux équipes de moins en championnat, et donc quatre matchs de moins. Un calendrier moins chargé favorise tout le monde. Nous sommes dans une meilleure situation », a lancé, en conférence de presse, l’entraîneur espagnol du PSG, qui ne se fera pas que des amis avec cette déclaration, sauf à la FIFA bien sûr, où ce projet de nouvelle Coupe du Monde des clubs a du mal à prendre.