Le PSG est inquiet de son niveau défensif en ce début de saison, notamment au poste de latéral gauche. Pas encore convaincus par le niveau de leur recrue Nuno Mendes et de Juan Bernat, les Parisiens se préparent à attaquer Milan et son joyau à ce poste.
Une attaque de rêve mais une défense qui donne plus de cauchemars qu'autre chose. Le PSG souffre dans le secteur défensif depuis le début de saison. Les Parisiens aimeraient plus de sérénité dans ce secteur et moins de buts encaissés. Le poste de latéral gauche est notamment visé. Pendant l'été, le PSG est allé chercher le jeune et prometteur Nuno Mendes au Sporting Portugal. Le jeune latéral de 19 ans est arrivé en prêt du dernier champion lusitanien mais ne convainc pas. Ses performances, offensives comme défensives, sont jugées décevantes. Ajouter à cela, son remplaçant Juan Bernat qui peine à retrouver son niveau depuis sa blessure aux ligaments croisés du genou en septembre 2020. Ce poste suscite des interrogations, trop pour un prétendant déclaré à la Ligue des Champions. Pourtant, la solution idéale est à Milan et Paris l'a bien compris.
60 millions pour Théo Hernandez
En effet, au Milan AC, un homme crève souvent l'écran Théo Hernandez. Le jeune français de 24 ans épate les Rossoneri ainsi que l'Equipe de France qu'il a récemment intégrée. Adoubé en Bleu, il l'est aussi dans le monde du football avec ses qualités offensives qui ne laissent pas insensibles les clubs européens. Le cadet des frères Hernandez se prépare à arbitrer un match Milan AC - Paris Saint-Germain sur son avenir. Selon le quotidien espagnol El Nacional, le club parisien prépare déjà une offre conséquente pour attirer le jeune latéral français dans la capitale. En effet, ce sont 60 millions d'euros qui pourraient être présentés sur la table des dirigeants milanais, soit près de trois fois le prix payé par les Italiens au Real Madrid à l'été 2019. Toutefois, l'état-major rossoneri compte bien conserver sa pépite. La direction sportive, composée de Paolo Maldini et Ricky Massara, voudrait augmenter le salaire du Français de 1,5 millions d'euros annuels actuellement à 4 millions d'euros dans un futur proche.