Le douzième titre de Champion de France gagné par le PSG n'est pas réellement une énorme surprise, mais le travail de Luis Enrique porte tout de même ses fruits. Et Arsène Wenger valide.
Dans le passé, Arsène Wenger a parfois été cité comme proche de rejoindre le Paris Saint-Germain non pas comme manager, mais comme conseiller sportif. Cependant, cela ne s'est jamais fait, mais cela n'empêche pas l'ancien entraîneur emblématique d'Arsenal de suivre de près l'actualité du PSG. A l'heure où le club de la capitale s'apprête à défier le Borussia Dortmund en demi-finale de Ligue des champions, Arsène Wenger estime que Luis Enrique est l'homme qu'il faut pour diriger ce club. Non pas que le technicien espagnol soit plus fort que ses prédécesseurs, mais Luis Enrique a réussi à imposer ses règles dans le vestiaire et à Paris c'est une grande nouveauté. L'Alsacien se réjouit de ce changement sans lequel rien ne sera possible du côté du club de la capitale. Dans Le Parisien, Wenger en dit plus.
Wenger supporter du PSG version Luis Enrique
𝟮/𝟰. ✅
— Actu Foot (@ActuFoot_) April 28, 2024
Un quadruplé historique pour le PSG cette saison ? 😍❤️💙
Ce que fait Luis Enrique pour sa première saison au club est fantastique. 👏 pic.twitter.com/hFwqs8jm6T
Si sa nomination et ses choix tactiques ont été vivement contestés par des journalistes et des consultants, Luis Enrique a tracé son chemin et Arsène Wenger le félicite pour cela. « Il a l’autorité sur le groupe. On n’a pas toujours eu l’impression que c’était le cas au PSG. Il a gagné cette bataille. Je pense qu’il est venu avec ses idées, et que le club l’a encouragé dans les moments où son autorité était contestée. Maintenant, il est installé, son autorité est reconnue par les médias, par tous. C’est un atout pour construire un grand club », précise celui qui est désormais directeur du développement du football mondial à la FIFA. Une analyse qui fera évidemment le bonheur de Luis Enrique, même si on sait que ce dernier ne regarde pas réellement ce qu'il se dit sur lui dans les médias, même quand c'est quelqu'un comme Arsène Wenger qui le fait.