Le mercato bloqué, l’Europe compte sur le PSG

Le mercato bloqué, l’Europe compte sur le PSG

Actif sur plusieurs dossiers, le Paris Saint-Germain pourrait relancer son recrutement dans les prochains jours. Au passage, le club de la capitale débloquerait un mercato jusqu’ici au ralenti, y compris du côté de la Premier League.

Malgré les difficultés rencontrées pour la vente de ses droits TV, la Ligue 1 n’est pas le seul championnat où le mercato avance au ralenti. Le marché peine à s’animer dans l’Europe entière. Mais la situation pourrait rapidement se débloquer grâce au Paris Saint-Germain. Jusqu’à maintenant, le club de la capitale n’a enregistré qu’une seule signature, celle du gardien russe Matvey Safonov, arrivé pour 20 millions d’euros en provenance de Krasnodar. Mais le pensionnaire du Parc des Princes travaille activement sur de gros transferts.

Afin compenser le départ de Kylian Mbappé au Real Madrid, le Paris Saint-Germain négocie avec Naples pour l’attaquant Victor Osimhen. Les Parisiens tentent de négocier en dessous de la clause libératoire de l’ancien Lillois fixée à 120 millions d’euros. En cas de réussite, le Napoli réinvestirait une partie de la recette sur l’avant-centre de Chelsea Romelu Lukaku. Une valse des buteurs pourrait alors s’opérer. Idem en ce qui concerne João Neves dont le transfert est actuellement en discussions avec Benfica.

João Neves pour libérer Ugarte

Le club lisboète réclame lui aussi les 120 millions d’euros de sa clause libératoire. Mais le Paris Saint-Germain discute autour d'une offre à 70 millions d’euros (bonus compris), révèle le journal L’Equipe. Pas sûr que la proposition soit acceptée. En tout cas, une arrivée de l’international portugais dans l’effectif de Luis Enrique inciterait la direction à ouvrir grand la porte à Manuel Ugarte. Absent des plans de l’entraîneur espagnol, le milieu défensif intéresse vivement Manchester United, prêt à miser 45 millions d’euros pour l’attirer alors que le Paris Saint-Germain aimerait récupérer les 60 millions d’euros investis l’été dernier. Un écart loin d’être insurmontable.