Le Barça et le PSG trouvent un accord historique

Le Barça et le PSG trouvent un accord historique

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Depuis le transfert de Neymar au PSG, la guerre était totale entre les dirigeants du Barça et leurs homologues parisiens. Mais les choses viennent de radicalement changer. 

La simple évocation du nom de Nasser Al-Khelaifi donnait des vertiges aux supporters et aux responsables du FC Barcelone, ces derniers n'ayant jamais pardonné au président du Paris Saint-Germain d'avoir monté un coup tordu pour venir chercher Neymar en 2017. Même si dans l'opération le club catalan a pris 222 millions d'euros, la manière de faire du PSG n'a jamais été digérée. Pour Paris, le ressentiment contre le Barça remonte à la fameuse remontada, l'équipe parisienne pensant avoir été la victime d'une entourloupe ce soir-là, avec un éventuel gros coup de pression mis sur l'arbitre du match.

Le PSG et Barcelone ne veulent pas se faire de coups tordus

Même si depuis, le PSG s'est également fâché avec le Real Madrid à propos de Kylian, la tension était toujours intense à l'entame de chaque mercato entre Paris et Barcelone. Mais cela ne sera pas le cas en janvier prochain, car la presse sportive catalane fait une grosse annonce à quelques jours de l'ouverture du marché des transferts, puisqu'elle évoque une paix des braves entre les deux géants européens, la présence de Luis Enrique sur le banc du PSG, et de Luis Campos, aux commandes du mercato, facilitant les choses.

En effet, le quotidien sportif barcelonais Sport révèle ce dimanche que Deco, le directeur sportif du Barça, et Luis Campos, le conseiller sportif de Nasser Al-Khelaifi, ont convenu d'un pacte de non-agression durant le mercato d'hiver 2025. Evoquant notamment le dossier Dani Olmo, Tomes Andreu, journaliste du média catalan, affirme que le dirigeant barcelonais a eu l'assurance de la part de Luis Campos que le Paris Saint-Germain ne viendra pas mettre son nez dans le dossier. « Luis Campos, entretient une bonne relation avec Deco, son homologue au Barça et entre les deux, il y a une sorte de pacte de non-agression, qui n’est pas écrit, mais qui est en quelque sorte implicite. Du côté de Paris, on a compris que prendre n'importe quelle initiative vers Dani Olmo serait une déclaration de guerre injustifiée », révèle notre confrère.