Les Boulogne Boys, association de supporters du Paris Saint-Germain dissoute en 2008, conséquence de la fameuse affaire de la banderole anti-Ch’tis, ne renaîtront pas de leurs cendres puisque ce lundi la Cour européenne des droits de l’homme a indiqué que cette décision française était justifiée.
« Les termes contenus dans la banderole déployée, le 29 mars 2008, étaient particulièrement injurieux à l'égard d'une certaine catégorie de la population. La mesure de dissolution était donc proportionnée au but recherché », a justifié cette instance, rappelant que les Boulogne Boys avaient déjà participé à de nombreux incidents violents à l'occasion de matchs du PSG.