En tant que supporter du Paris Saint-Germain, Julien Cazarre a comparé l’état de son club de cœur sous Colony Capital et Qatar Sports Investments (QSI). Deux époques complètement différentes.
Arrivée dans le paysage du football français en 2011, la direction qatarie du PSG ne fait pas vraiment l’unanimité dans l’Hexagone. Nul doute que la puissance financière de QSI ainsi que sa volonté de tout écraser sur son passage ne sont pas étrangères à cette cote de popularité. Une tendance critiquée par Julien Cazarre, ravi de l’ambition des propriétaires actuels par rapport à celle de leurs prédécesseurs américains, Colony Capital.
« Aujourd’hui, je suis content d’avoir les Qataris. Je les préfère largement aux Américains. Eux, ils s’en foutaient. Ils faisaient crever le club. C’était un fonds de pension, a lâché l’humoriste dans France Football. Si tu connais un peu l’économie, c’est quand même ça qui plombe toute l’économie mondiale. Le côté méchant arabe riche, et gentil américain, je ne capte pas trop… L’époque Colony Capital, c’est de la merde. On peut ne pas aimer les Qataris, mais ils font tout pour que le PSG soit un bon club. »
Rabiot et Coman ne sont pas épargnés
« On a Zlatan, David Luiz, Verratti. Lui, il est extraordinaire. Il peut devenir une idole du Parc. Il transpire l’appartenance au club. Quand on te casse les couilles avec des mecs du centre comme Coman qui se barre dès qu’il peut, ou Rabiot qui s’en tape complètement, ça me fait marrer. Les grandes stars, ce sont les mecs qui restent au club », a ajouté Cazarre, qui se passerait volontiers des jeunes Parisiens tant les stars brillent depuis leur arrivée.