Toujours pas d'accord entre le PSG et le Benfica pour le transfert de Joao Neves. Cela négocie très dur et Paris ne veut pas craquer et tout donner au club portugais.
Voilà désormais plus de 10 jours que le Benfica Lisbonne a donné son accord à Joao Neves pour le vendre au PSG. Mais depuis, aucun transfert n’a eu lieu car les deux clubs continuent de négocier. Une lenteur qui étonne à tous les niveaux, alors que toutes les parties prenantes du dossier s’accordent à dire qu’absolument rien de décisif ne bloque. Mais le Paris SG n’a pas l’intention de surpayer de nouveau un joueur en provenance du Portugal, et négocie très durement. Selon la presse portugaise, tout le monde semble d’accord sur un transfert à 60 millions d’euros.
Réponse cette semaine, ou bien gros problème
Le fait que le milieu de terrain ait refusé toutes les offres de prolongation de la part des Aigles force la direction de Lisbonne à accepter l’offre parisienne, qui est la seule à cette hauteur parmi les clubs européens. Mais le Benfica fait durer le suspense car le PSG est pressé d’intégrer Joao Neves à son effectif. Résultat, cela discute difficilement sur les bonus. Le club lusitanien espère 10 millions d’euros facilement atteignables, comme en cas de qualification en Ligue des Champions, alors que le PSG aimerait mettre des objectifs plus difficiles à aller chercher.
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Le bras de fer a donc lieu en ce moment, car Benfica est persuadé de pouvoir faire monter l’addition à 70 millions d’euros assez facilement. Réuni en conseil d’administration ce lundi, le Benfica n’a donc pas accepté l’offre du PSG en l’état et demande un effort aux propriétaires qataris du champion de France, histoire de bien faire comprendre que, s’ils voulaient Joao Neves, il allait falloir s’aligner sur les demandes du club dirigé par Rui Costa.
En ce qui concerne le joueur, l’accord a déjà été trouvé avec Paris, et une fois que les deux clubs se seront mis d’accord, tout pourra aller très vite. Fabrizio Romano confirme la tendance ce mardi matin, soulignant que tout devait se boucler cette semaine. Dans le cas contraire, il faudrait alors commencer à s’inquiéter.