Dix ans après son départ libre, Kingsley Coman pourrait retrouver le Paris Saint-Germain cet été. L’ailier du Bayern Munich n’est pas contre l’idée d’un retour au sein de son club formateur. Et ses dirigeants ne s’opposeront pas à son transfert en cas d’offre jugée convenable.
Et si le successeur de Kylian Mbappé était Français ? Pour compenser le départ libre de son meilleur buteur, le Paris Saint-Germain a prévu de recruter un ailier gauche. Les noms de Khvicha Kvaratskhelia, retenu par Naples, et de l’attaquant de Manchester United Marcus Rashford sont évoqués. Mais la piste menant à Kingsley Coman n’est pas à négliger. Rappelons que le titi parisien avait quitté son club formateur libre en 2014.
Kvaratskhelia ne partira pas ! Naples menace le PSG https://t.co/BcydMQlq26
— Foot01.com (@Foot01_com) June 26, 2024
A l’époque, le faible temps de jeu accordé par l’ancien entraîneur Laurent Blanc l’avait incité à signer son premier contrat professionnel à la Juventus Turin. On peut dire que Kingsley Coman avait pris la bonne décision. Que ce soit chez les Bianconeri ou au Bayern Munich, l’ailier polyvalent a reçu la confiance recherchée, sans parler des nombreux trophées ajoutés à son palmarès. Le voilà maintenant prêt à revenir au Paris Saint-Germain par la grande porte, annonçait le média allemand Sky Sport en début de semaine, avant la confirmation du quotidien Bild.
Le Bayern veut 40 à 50 M€
On apprend effectivement que Kingsley Coman a bien l’intention de quitter le Bayern Munich cet été. D’autant que ses dirigeants ne s’opposent pas à son départ, à condition de récupérer une somme jugée convenable pour son transfert. Afin de libérer l’international tricolore de ses trois années de contrat, le géant de Bundesliga réclamerait entre 40 et 50 millions d’euros. Un montant a priori abordable pour le Paris Saint-Germain qui s’offrirait un joueur capable d’animer les deux couloirs. Son profil intéresse aussi le FC Barcelone. Mais compte tenu de ses problèmes avec le fair-play financier de la Liga, le Barça ne devrait pas représenter une menace pour les Parisiens.