Titulaire contre Ajaccio, alors qu’il venait tout juste de signer au Paris Saint-Germain, Lucas a fini le match vaincu par les crampes. Un choix tactique qui a étonné dans la mesure où Carlo Ancelotti avait trouvé un système tactique qui fonctionnait et que l’entraîneur du PSG a changé pour intégrer son nouveau joueur. Pour Guy Roux, ce choix n’était pas purement sportif, loin de là.
« Sur ce coup, Ancelotti a été plus ambassadeur du Qatar qu’entraîneur. Il fallait marquer l’opinion publique. Franchement, le plus logique était de le présenter au public à vingt minutes de la fin. Le faire débuter dans un froid glacial, c’était osé. Je me souviens que quand Ronaldinho a débuté avec Paris, contre Auxerre en 2001, il faisait 30 degrés, rappelle Guy Roux, dans le Parisien. Mais l’ancien entraîneur de l’AJA avoue quand même être très optimiste pour le joueur brésilien du PSG. A le regarder, j’ai l’impression qu’il possède un tempérament positif. C’est un gamin qui veut jouer. Rien à voir avec Pastore qui me semble trop romantique et triste… »