Installé comme un titulaire au PSG depuis près de deux ans, Bradley Barcola attise les convoitises. L’international français serait notamment la cible de l’Arabie Saoudite, prête à casser sa tirelire pour le recruter.
A l’été 2023, le Paris Saint-Germain a fait un énorme pari en lâchant 50 millions d’euros pour faire venir Bradley Barcola en provenance de l’Olympique Lyonnais. Près de deux ans plus tard, personne dans la capitale ne regrette d’avoir dépensé une telle somme pour celui qui est ensuite devenu international français et qui a participé au dernier Euro avec les Bleus. Auteur de 5 buts l’an passé, le natif de Lyon en est déjà à 18 réalisations cette saison.
Bradley Barcola. Unique. 🌟 pic.twitter.com/O6IKiKsUWG
— Ligue 1 English (@Ligue1_ENG) March 10, 2025
Une progression fulgurante qui attise logiquement les convoitises des plus grands clubs en Europe. Manchester City a par exemple été cité parmi les équipes intéressées par Bradley Barcola. Mais à en croire Le 10 Sport, l’Arabie Saoudite lorgne également sur la situation de l’attaquant du PSG et de l’Equipe de France. Le média affirme que Bradley Barcola fait l’objet d’un intérêt intense de la Saudi Pro League et que des premiers contacts ont eu lieu avec les représentants du joueur.
L'Arabie Saoudite se jette sur Bradley Barcola
Des chiffres « démentiels » ont été évoqués entre les deux parties, l’Arabie Saoudite étant visiblement prête à faire sauter la banque pour s’attacher les services de l’un des attaquants les plus prometteurs en Europe. Il faudra toutefois un miracle pour convaincre Bradley Barcola de quitter le PSG. Décrit comme heureux et épanoui dans la capitale française, l’ancien Lyonnais n’est pas du tout chaud pour partir et encore moins pour s’exiler en Arabie Saoudite, malgré les chiffres délirants proposés. Au contraire, des discussions vont bientôt démarrer avec le PSG pour une prolongation de son contrat, lequel court jusqu’en 2028. Avec forcément une revalorisation salariale à la clé pour l’attaquant représenté par Jorge Mendes, lequel fait le bonheur de Luis Enrique.