Le PSG a pas mal de noms en tête pour venir renforcer son attaque. Le club de la capitale adore le profil d'Alexander Isak, le joueur de Newcastle. Mais les propriétaires saoudiens des Magpies sont très gourmands.
Le PSG de Luis Enrique a quelques problèmes de taille à gérer concernant sa finition, surtout lors des grandes rencontres de Ligue des champions. L'entraineur parisien le sait, mais ne veut pas se précipiter pour recruter la perle rare. Mais on sait déjà que le Paris Saint-Germain a coché quelques noms pour venir garnir le secteur offensif. On a récemment entendu parler de Khvicha Kvaratskhelia, Marcus Rashford, Ademola Lookman ou encore Nico Williams. Mais au poste d'attaquant, Alexander Isak fait rêver les champions de France. A tel point qu'il se dit que les pensionnaires du Parc des Princes sont disposés à faire une offre au joueur, mais aussi à son club, Newcastle. Cependant, les Magpies ne comptent pas lâcher l'international suédois.
Le PSG sait à quoi s'en tenir pour Isak
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Selon les informations du Telegraph, Newcastle évalue en effet Alexander Isak à quelque 180 millions d'euros. Pour rappel, l'ancien de la Real Sociedad sera en fin de contrat avec la formation anglaise en 2028. Les Magpies ne sont pas chauds pour lâcher leur pépite, mais savent aussi qu'ils ont la possibilité de faire grimper les enchères au vu des clubs intéressés. Outre le Paris Saint-Germain, Arsenal, Chelsea, Liverpool, le Real Madrid ou encore le FC Barcelone sont dans le coup pour rafler la mise, même si le tarif exigé par le club de Premier League, propriété des Saoudiens, est colossal.
Si le PSG veut Isak, il sait désormais à quoi s'en tenir. Il sera très difficile de le déloger cet hiver, même en cas de départ de Randal Kolo Muani pour Chelsea ou ailleurs. Mais l'été prochain, il sera intéressant de savoir si Newcastle reverra le prix du joueur de 25 ans à la baisse. Car on sait Luis Enrique moyennement chaud à l'idée de claquer des sommes folles pour compléter son équipe, l'entraîneur espagnol du Paris Saint-Germain ne voulant pas céder à la folie des grandeurs, tout comme Nasser Al-Khelaifi, même si l'on sait que ce dernier est capable de craquer à n'importe quel moment. Surtout si les champions de France ne vont pas plus loin que le premier tour en Ligue des champions.
