Encore loin d’être prêt à être utilisé, le Grand Stade de l’Olympique Lyonnais avance et est désormais à un peu plus de six mois de son inauguration.
L’occasion pour le Progrès de se pencher sur ce qui permettra également au club rhodanien de faire rentrer de l’argent, outre les matchs de l’équipe première. Et pour cela, Jean-Michel Aulas ne manque pas d’ambition, comme il l’a confié au quotidien régional. Le Stade des Lumières, en attendant son nom version naming, est en effet en liste pour accueillir la finale de la Coupe d’Europe de rugby, malgré la concurrence de Murrayfield en Ecosse. La possibilité d’y avoir une équipe française, une habitude ces dernières années, pourrait faire pencher la balance en faveur de l’écrin lyonnais. Mais ce n’est pas tout, le stade sera également le théâtre de concerts, et Aulas fait monter la sauce pour le premier rendez-vous du 16 juillet avec « un très grand concert qui fera jalouser toutes les enceintes européennes. Mais j’ai signé un accord de confidentialité, je ne peux donc pas vous dire de qui il s’agit ».
Un stade plus grand que prévu, c'est possible
Niveau diversité, ce n’est pas tout, car le grand Stade pourra se mettre en configuration hockey sur glace pour une rencontre de gala espérée pour décembre 2016. Enfin, cerise sur le gâteau, le président lyonnais a expliqué que 1500 places allaient être rajoutées grâce à des gains d’espace effectués pendant la construction. « Le constructeur Vinci a tellement bien travaillé qu’il nous a offert la possibilité de créer 1500 places supplémentaires. La capacité maximale ne sera donc pas de 58 000, mais de 59 500 places », a expliqué un Jean-Michel Aulas qui voit son grand projet toucher au but.