Miralem Pjanic est sur une voie de garage au FC Barcelone. Le Bosnien n'a pas joué la moindre minute en Liga avec son club, lequel est pressé de le voir partir. Deux solutions s'offrent à Pjanic, l'Arabie Saoudite ou l'OL.
Dans la vie, on sait ce que l'on perd mais jamais ce que l'on va gagner. Les supporters de l'OL font ce constat après le départ soudain de Lucas Paqueta en cette fin de mercato. Leur prodige brésilien était essentiel dans l'entrejeu par sa combativité, sa créativité et son importance dans l'animation collective. Si certains rappelleront que son transfert à West Ham ramène près de 60 millions d'euros dans les caisses lyonnaises, leurs opposants argumenteront avec le match de l'OL à Reims. L'absence de Paqueta s'est faite ressentir au vu des difficultés rencontrées par les Lyonnais en Champagne, notamment pour inquiéter le portier rémois.
Pour Pjanic, c'est Al Nassr ou l'OL
L'OL serait bien inspiré de trouver un remplaçant à son désormais ancien milieu brésilien, alors que le mercato se termine dans moins de 48 heures. Une piste est possible au FC Barcelone en la personne de Miralem Pjanic. Celui qui portait le maillot des Gones de 2008 à 2011 n'est plus en odeur de sainteté en Catalogne, n'ayant pris part à aucune minute depuis le début de la saison. Clairement, les Blaugranas céderaient volontiers leur milieu bosnien au premier venu. L'OL est clairement sur le coup mais il n'est pas tout à fait le seul.
Pjanic could leave Barcelona in the next few days.
— Barça Universal (@BarcaUniversal) August 29, 2022
— @relevo pic.twitter.com/IYCN27raDW
En effet, selon Mundo Deportivo, le club saoudien d'Al Nassr se montre aussi très intéressé par Pjanic. Son entraîneur est bien connu du joueur mais aussi de l'OL puisqu'il s'agit de Rudi Garcia. Le Français voudrait bien retrouver celui qu'il avait fait progresser du côté de l'AS Rome. L'OL devra bien travailler le dossier pour gagner son face-à-face avec la formation saoudienne. Le jeu en vaut peut-être la chandelle. Depuis son dernier prêt à Besiktas, Pjanic est plus abordable financièrement. Pour rejoindre la Turquie, il avait du consentir à une baisse de salaire de l'ordre de 50%. Un argument intéressant pour convaincre les lyonnais sceptiques au vu des performances décevantes d'un joueur si doué lors de ses années lyonnaises.