Distancé en championnat, l’OL est obligé de remporter l’Europa League pour se qualifier en Ligue des Champions. La pression est totale sur Peter Bosz…
Moins d’un an après son arrivée à Lyon en remplacement de Rudi Garcia, l’entraineur néerlandais est extrêmement menacé. Malgré des idées novatrices et une mentalité qui plait au public lyonnais, Peter Bosz est sur la sellette en raison de ses mauvais résultats en Ligue 1. Dixième au classement, l’ancien entraîneur de l’Ajax Amsterdam est en revanche toujours en lice pour remporter l’Europa League, la seule chose qui pourrait sauver sa place et la saison de l’OL. Dans le cas où les Gones ne remporteraient pas ce beau trophée européen, Peter Bosz ne devrait pas être conservé selon Calcio Mercato, qui avance le nom de la piste prioritaire de Jean-Michel Aulas et de Vincent Ponsot pour lui succéder. Il s’agit de Niko Kovac, licencié en cours de saison par l’AS Monaco.
🚨Info : En cas de départ de Peter Bosz 🇳🇱 la saison prochaine, plusieurs entraîneurs plaisent à l'#OL.
— Santi Aouna (@Santi_J_FM) March 28, 2022
• Les noms de Julien Stéphan 🇫🇷 et de Niko Kovac 🇭🇷 ont été évoqués en interne.@sebnonda pic.twitter.com/581zUNqrcc
Kovac priorité devant Stéphan et Blanc ?
Il y a quelques jours, Foot Mercato dévoilait que l’Olympique Lyonnais était intéressé par trois entraîneurs dans le cadre de la potentielle succession de Peter Bosz. Il s’agissait de Laurent Blanc, de Julien Stéphan et de Niko Kovac. A en croire le média italien, c’est le technicien croate qui a le plus les faveurs de la direction lyonnaise, même si cela peut encore évoluer d’ici à la fin de la saison. D’autant que Niko Kovac est de loin l’entraîneur le plus cher du lot puisque son salaire lorsqu’il était à l’AS Monaco était d'environ 400.000 euros par mois, très loin devant les émoluments actuels de Peter Bosz, qui émarge à peine à la moitié à l’Olympique Lyonnais. Autant dire que les Gones devront réaliser un effort financier inédit dans leur histoire s’ils veulent s’offrir les services de Niko Kovac. Le constat est aussi valable pour Laurent Blanc, qui a vu ses émoluments exploser au PSG et qui gagne encore très bien sa vie au Qatar à Al-Rayyan.