Si l'OL va mieux concernant sa situation auprès de la DNCG, c'est aussi parce que John Textor a fait des promesses. Et ces dernières devront être tenues, sous peine de sanctions...
L'OL a redressé la barre sportivement depuis le marché des transferts hivernal. Il faut dire que les Gones ont aligné les millions pour se renforcer. Si quelques doutes étaient présents, force est de constater que le compte y est pour le moment. Rien n'est encore fait mais les espoirs sont grands. En plus du sportif, l'OL va devoir donner des garanties sur l'état de ses finances. Et pour avoir pu recruter au mois de janvier, John Textor a fait des promesses, dont celles de vendre des joueurs, OL Reign ou encore la LDLC Arena. Et à ce sujet, le businessman américain pourrait faire affaire avec un investisseur à la réputation douteuse.
Désaccord chez les Textor
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Selon les informations de Blast, Tony Parker, très intéressé par la salle, est toujours en lice pour l'acquérir. Pour mener à bien son projet, il est désormais avec Aleksej Fedoricsev, président de l'équipe de basket de Monaco mais aussi propriétaire de la chaîne Skweek qui diffuse le basket français et qui est le sponsor de l'ASVEL. L'OL a confirmé l'intérêt de l'homme d'affaire russe. Problème, Fedoricsev est un oligarque sous le coup de sanctions de l'Ukraine. Il est soupçonné de corruption et d'avoir participé à l'effort de guerre de la Russie dans son invasion en Ukraine. Des accusations niées bien évidemment mais en tout cas, John Textor n'est pas refroidi par Fedoricsev. Blast rajoute que les deux hommes se sont salués le 4 février dernier dans les loges du Groupama Stadium lors d'OL-OM. A noter que si Textor n'est pas contre faire du business avec Fedoricsev, sa famille, son entourage et la classe politique lyonnaise pensent le contraire et tentent apparemment de lui mettre la pression pour qu'il dise non à son offre et donc celle de Tony Parker. Mais quand John Textor a décidé quelque chose, il est en général compliqué de le faire changer d'avis.