Malgré la victoire contre l’OM en match en retard, Peter Bosz a été considérablement fragilisé par la défaite de l’OL à Monaco ce week-end.
La pression est maximale sur les épaules de Peter Bosz. Vainqueur de Marseille en match en retard le 1er février, l'Olympique Lyonnais est retombé dans ses travers quelques jours plus tard en déplacement à Monaco avec une défaite logique sur le Rocher (2-0). Un match que l’OL a en partie perdu à cause des choix baroques de son entraîneur Peter Bosz aux yeux de certains observateurs ainsi que des supporters. Alors que Lyon accueille le troisième de Ligue 1 samedi soir, à savoir Nice, tous les yeux sont tournés vers Peter Bosz. Les choix de l’entraîneur de l’OL, qui pourrait titulariser Tanguy Ndombele ou encore Romain Faivre, seront scrutés. Et pour cause, selon Le Figaro, Peter Bosz joue son avenir à l’occasion de ce match bouillant entre les Gones et les Aiglons.
OL-Nice décisif pour l'avenir de Peter Bosz
Depuis le début de saison, c’est vrai, je ne crois pas beaucoup à Peter Bosz. Trop d’écart entre le discours et le jeu.
— vincent duluc (@vincentduluc) February 6, 2022
J’ai eu tort d’avoir pensé, cette semaine, qu’il pouvait s’en sortir.
Il a lui-même brisé l’élan avec une composition d’équipe incompréhensible.
Avant ce rendez-vous au sommet, Jean-Michel Aulas a été très clair en mettant indirectement la pression sur ses joueurs et surtout sur son entraîneur. « Il faut gagner samedi contre Nice. Nous ne sommes pas décrochés. Mais pour être sur le podium en fin de saison il faut gagner » a annoncé Jean-Michel Aulas lors de la présentation à la presse de Lindsey Horan, prêtée par les Portland Thorns. Sur son site, Le Figaro manie beaucoup moins la langue de bois que Jean-Michel Aulas. Pour le média, Peter Bosz est très clairement sur un « siège éjectable » et une défaite contre Nice samedi, la deuxième en une semaine pour l’OL contre un club de la Côte d’Azur, serait très certainement fatale à Peter Bosz. Reste maintenant à voir si le coach néerlandais parviendra à faire comme bon nombre de ses prédécesseurs par le passé, à savoir gagner un match chaud contre une équipe du haut de tableau lorsque le bateau lyonnais tangue très fort…