Après les victoires de Monaco, Strasbourg et Nantes, l'Olympique Lyonnais a déjà fait une croix sur la Ligue des champions et l'Europa League. Il ne lui reste plus qu'à rêver sur la C4.
Les supporters de l’OL vont devoir choisir entre le rôti dominical et le match de leur équipe préférée, puisque c’est ce dimanche à 13 heures que la LFP a fixé la date de la rencontre entre Metz, pratiquement déjà condamné à la Ligue 2, et l’Olympique Lyonnais. Dans une relative belle série, puisqu’ils ont pris neuf points en 4 matchs, et surtout marqué 16 buts, les joueurs de Peter Bosz ont hélas déjà perdu quelques illusions avant même le coup d’envoi de la rencontre à Saint-Symphorien. Vendredi soir, la victoire de l’AS Monaco à Lille a définitivement fermé la porte du podium de la Ligue 1, et donc de la Ligue des champions, au club de Jean-Michel Aulas, puisque Lyon compte désormais dix points de retard sur le club de la Principauté et l’OM alors qu’il ne reste que trois matchs à jouer. Et le reste n'est pas plus réjouissant.
Lyon en Ligue Europa Conférence, il y a a encore une chance
Homme du Match 🔴🔵@gusto_malo est dans l’équipe de la Semaine ! 🔥#FUT22 #FIFA22 🎮 @EA_FIFA_France pic.twitter.com/tXuB1DWzYb
— Olympique Lyonnais (@OL) May 5, 2022
Concernant la 4e place, synonyme d’Europa League, Rennes a sept longueurs d’avance sur l’OL, et le duo Strasbourg-Nice en a cinq, la victoire alsacienne à Brest n’ayant pas fait les affaires de Lyon, pas plus que celle de Nantes en finale de la Coupe de France contre Nice. Car les Azuréens n’ont plus que la Ligue 1 pour espérer avoir un ticket européen, les Canaris étant eux en C3. Et la cinquième place, seule position sérieusement envisageable pour l’OL, sera synonyme de Ligue Europa Conférence et rien de plus. Une compétition qui ne fait pas réellement rêver, et qui à l'image de la défunte Coupe de la Ligue ne semble enthousiasmer que les clubs qui vont en finale. Pour cela, Lyon doit tout gagner et compter sur deux défaites de ses rivaux. De quoi donner d'énormes regrets quand on voit la grosse montée en pression de l'équipe de Peter Bosz, lequel avouait cette semaine en conférence de presse que les pièces du puzzle s'étaient mises en place un peu tard.