Toujours à la recherche d'un arrière gauche pour remplacer Ben Chilwell, Chelsea tente de ramener de prêt Emerson Palmieri. Mais, l'OL reste ferme et ne veut pas se séparer de l'Italien si vite. À moins qu'un petit chèque des Blues ne fasse changer d'avis les Lyonnais.
Un dialogue de sourds oppose Chelsea et l'OL depuis plusieurs jours. Les Blues doivent remplacer le malheureux latéral gauche Ben Chilwell, blessé jusqu'à la fin de la saison. Ils travaillent sur deux possibilités : recruter Lucas Digne à Everton ou stopper le prêt d'Emerson Palmieri à l'OL. Alors que le dossier Digne se complique de plus en plus, Chelsea a tendance à privilégier la seconde option. Mais, l'OL ne compte pas se laisser faire aussi facilement. Les Lyonnais sont déterminés à conserver l'expérimenté latéral si précieux à une équipe qui manque clairement de tauliers. La situation semble bloquée.
Chelsea veut indemniser l'OL pour Emerson
Toutefois, Chelsea a plusieurs cordes à son arc. Après avoir tenté d'y aller en force avec Lyon, les Londoniens tentent maintenant de négocier avec intelligence et calme. Sachant la difficulté dans laquelle l'OL serait avec le départ d'Emerson, les Blues tentent de séduire financièrement le club de Jean-Michel Aulas et de leur offrir la possibilité de remplacer le latéral italien. C'est en tout cas ce que révèle Fabrizio Romano sur Twitter.
Chelsea are still trying to recall Emerson Palmieri as left back, Tuchel wants him. OL turned down first approach but Chelsea are pushing again - prepared to offer compensation 🔵 #CFC
— Fabrizio Romano (@FabrizioRomano) January 9, 2022
Lucas Digne deal now looking very unlikely. Nothing advanced. Everton ask for permanent move. pic.twitter.com/BFi2AhhXJX
« Chelsea essaie toujours de rappeler Emerson Palmieri comme arrière gauche, Tuchel le veut. L'OL a refusé la première approche mais Chelsea pousse à nouveau - prêt à offrir une compensation. Lucas Digne semble désormais très improbable. Rien d'avancé. Everton demande un déménagement permanent », a publié le journaliste toujours bien informé. Une aide financière que ne refuserait peut-être pas Jean-Michel Aulas, notamment en janvier quand son stade ne pourra pas accueillir plus de 5000 personnes par match.