Ce n'est un secret pour personne, et surtout pas pour les recruteurs des plus grands clubs européen, Rayan Cherki est l'une des plus incroyables pépites formées par l'Olympique Lyonnais depuis des années, certains spécialistes étant même persuadés qu'il est meilleur qu'Hatem Ben Arfa à son âge. Du haut de ses 15 ans, l'attaquant qui est surclassé de deux catégories, commence pourtant à donner des migraines à Jean-Michel Aulas, conscient qu'il doit rapidement faire signer un contrat à celui qui avait été détecté par le club de Saint-Priest.
Oui mais voilà, le contrat de non-sollicitation de Rayan Cherki s'achève fin juin et rien n'indique qu'il ne partira pas dès le 1er juillet dans un club où financièrement il sera comblé. Car selon Le Progrès, le noeud du problème est là, l'entourage du très jeune attaquant est d'une exigence redoutable lorsqu'il s'agit de parler argent. « Selon des sources proches, l'entourage du joueur doublement surclassé, réputé pour son aisance technique et son sens de la finition, serait un frein aux négociations. Leurs prétentions financières seraient telles que de grosses écuries européennes, un temps intéressées par le phénomène, ont rebroussé chemin depuis. Une information confirmée à plusieurs reprises », affirme le quotidien régional, alors que vendredi la Juventus semblait se pencher sur le dossier. Il est vrai que le montant des transferts a tellement explosé ces dernières saisons que cela peut donner un appétit démesuré, même pour un joueur de 15 ans, aussi talentueux soit-il.